Quand Ophélie Meunier, Florence Trainar mène la danse ! En effet, de simple remplaçante, elle semble déjà avoir gagné la confiance des téléspectateurs. En coulisses, son mari surveille attentivement sa carrière. Et pour cause, il a sa réputation à tenir !

Qui se cache derrière la binôme d’Ophélie Meunier ? Le passé du mari de Florence Trainar ressemble à un reportage de Zone Interdite !

Le cœur de Florence Trainar n’est plus à prendre !

À la fin de l’été, Florence Trainar accepte de devenir la femme d’Arthur de Soultrait. Afin de célébrer ce conte de fées, les invités triés sur le volet ont rendez-vous dans la magnifique chapelle du château de Poudenas. Ayant pour objectif que l’intrusion des paparazzi ne gâche pas les festivités, le couple pose pour nos confrères de Gala. À l’instar de nombreuses célébrités, ils préfèrent négocier avec les journalistes plutôt que de subir les rumeurs. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, Monsieur est aussi connu que Madame. D’ailleurs, le compte en banque de ce dernier est bien garni. nous vous explique tout dans les moindres détails !

Un parcours (presque) sans faute

Au cours d’une scolarité dans une école de commerce, le stage à l’étranger est une étape redoutée, mais cruciale. En effet, pour ses jeunes de 20 ans, partir travailler dans un pays inconnu n’est pas une mince affaire. Sans la moindre hésitation, le chéri de Florence Trainar jette son dévolu sur les États-Unis. Pendant six mois, il va perfectionner son anglais. De retour de l’hexagone, il a déjà une idée derrière la tête. Pas question de rester employé, pourquoi ne pas monter sa propre entreprise ? Attention, contrairement à ses petits camarades, l’univers des start-up ne l’intéresse pas. Par contre, pourquoi ne pas avoir sa marque de vêtements ? N’écoutant que son courage, il s’en va tenter de récolter des fonds auprès d’un réseau d’investisseurs. Visiblement, ses arguments fonctionnent. En peu de temps, il rassemble pratiquement 40 000 euros. Quelques mois avant sa remise de diplômes, c’est la consécration pour Vicomte A. puisqu’il obtient un stand aux Galeries Lafayette. Spécialisé en cravates puis en polos, le meilleur est à venir !

Le beau-frère de Florence Trainar est aussi un drôle de phénomène. S’il accepte de participer à cette belle aventure, c’est uniquement pour gérer l’image de la marque sur le sol américain. 2007 est une année que les deux frangins de Soultrait n’oublieront jamais ! D’une part, après avoir inauguré avec fierté la première boutique dans la rue Saint-Honoré, deux autres voient le jour très vite. Soucieux de révolutionner ce secteur, les couturiers ont également des idées novatrices pour les femmes. Un peu après une décennie, à la fin de ce stage ultra-formateur, le résultat dépasse toutes ses espérances. Avec 20 millions d’euros de chiffre d’affaires, il suscite la convoitise de ses pairs. Quand nous repense à la somme de départ, elle en rigole. Hélas, pour l’ex de Pippa Middelton, en 2014, tout s’écroule. C’est le début d’une longue traversée du désert. Forcé de revendre, il n’a pas dit son dernier mot !

Découvrez la drôle de reconversion du chéri de Florence Trainar

Quelques semaines après l’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Élysée, Arthur de Soultrait est de retour. Cette fois, il ne souhaite pas métamorphoser notre look, mais davantage de donner un précieux coup de pouce aux magasins. Ces fameuses tablettes Thunderstone, elles vont bouleverser la vie des entrepreneurs, mais aussi des clients. Tout d’abord, elle gère le stock avec minutie. Puis, les consommateurs soucieux de leur apparence passent de la théorie à la pratique. Taille, coloris, longueur des manches, tout est prévu pour personnaliser sa commande ! En liaison permanente avec les usines, les bornes remportent tous les suffrages. Qui sait, c’est peut-être ça l’avenir ? Suite dans le prochain numéro d’nous !